Usé, galvaudé… le terme « street wear » a perdu son essence à la fin des années 2000. Wicked One lui redonne un sens. Et de de la prestance.
La marque affirme aujourd’hui son caractère : c’est dans les ghettos du monde qu’elle puise son inspiration et à leurs rues qu’elle rend hommage.
Un bref coup d’oeil aux logos et designs de la marque suffit à comprendre que sa culture est celle des quartiers populaires et que c’est à eux, au-delà des frontières, qu’elle se destine.

Les héros anonymes de tous les jours, leurs combats, sont à la fois source d’inspiration et objet d’hommages pour les créateurs de la marque Fred, Julien et Gary. Fred s’est spécialisé dans les compositions graphiques et l’identité visuelle, Julien est lui l’orfèvre question typos et illustrations, Gary est l’homme du développement et des finances. C’est avant tout par l’envie de s’exprimer graphiquement que sont nées les premières collections en 2007, sorties dans des séries très limitées. L’envie d’interpréter un certain esthétisme underground, de le partager mais en préservant ses valeurs…
Autodidactes, Julien et Fred viennent du graffiti, mais ils ne débutent pas dans le prêt-à-porter. Avec Gary, ils ont notamment développé l’une des marques les plus en vue et marquantes durant les plus belles années du street wear français à la fin des années 90 et durant les années 2000.

Les créations des 2 graphistes sont nourries par leur passion et leur curiosité pour la culture et la vie de rue. Les dessins prennent leur source dans la culture typographique de East L.A. (le célèbre quartier latino), dans le tatouage, l’art chicano, le hip hop et le graffiti.

Mais les quartiers des Etats-Unis ne sont pas la seule source d’inspiration des designers : ceux du Mexique, du Brésil et du reste de l’Amérique Latine, comme du Japon ou plus largement d’Asie et d’Afrique sont également représentés dans les illustrations et motifs de la marque.

Oubliez les idées reçues sur la mode urbaine : l’ère de l’extra-large est révolue. Mais dès la création des premières lignes, les designers de Wicked One ont anticipé le retour à des coupes plus classiques mieux à même de survivre aux effets de mode. Tous les vêtements de la marque sont ajustés. On ne s’habille pas de la même façon dans les quartiers de Paris, Dakar ou Los Angeles, mais le goût du basique est lui universel et intemporel.
Car Wicked One affiche des ambitions internationales. La machine est même déjà en route. Avec ses designs de caractère et ses coupes urbaines dans un esprit “classique”, elle séduit hors de France métropolitaine avec des points de vente en Suisse, Espagne, Belgique, Danemark, République Tchèque, DOM-TOM…

Wicked One a intégré l’âpreté du quotidien des quartiers du monde jusque dans sa fabrication et sa finition. T-shirts, blousons, sweat-shirts, tops pour filles, jeans, accessoires… pour chaque pièce, La marque travaille la durabilité et la solidité et a choisi de fabriquer 90% de sa production en Europe pour mieux en maîtriser la qualité

De quoi satisfaire la clientèle qu’elle vise : adulte, exigeante et internationale. Pas d’article jetable au premier lavage dans les gammes. .

Et pas de politiquement correct. Les pièces sont en accord avec le mode de vie qu’elles représentent : à toute épreuve, prêtes à tout.
Les parrains ou amis de la marques, icônes dans leur domaine sont d’ailleurs des exemples concrets de cette vision et ce style de vie: les tatoueurs Tin-Tin et Laura Satana, la star du groupe NTM Kool Shen, l’acteur Adel Bencherif ou encore des combattant de Boxe et MMA (Mixed Martial Arts)… Des gueules, des personnalités, une attitude.

Durable, Originale, qualitative et internationale, Wicked One réhabilite le street wear. On aura beau chercher, on ne trouvera pas de terme plus juste pour décrire ses lignes et motifs qui subliment la vie de rue, en défendent la culture et rendent hommage aux survivants de la vida loca. C’est une réalité avec ses codes, son esthétique et un univers.
Et Wicked One la représente. Sous toutes les coutures.